KAAX

KAAX est un compositeur synthétique, ou de synthèse. Qu’il travaille sur ses synthés, des VST ou un iPad, c’est la recherche de couleurs sonores qui l’attire. Son vieux clavier Yamaha PSR des années 90 peut cotoyer le Moog Minitaure ou un Juno avant de terminer dans l’ordi.
De quelques mots, KAAX tire une histoire, une rêverie dans la ville. L’histoire d’un homme dont l’esprit s’échappe. Entre synthés analogiques, samples faits maison, sons numériques, banques et informatique, KAAX décide de ne pas choisir pour produire une musique utilisant les avantages de ces différentes technologies.

Discographie

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Revue de presse

Efflorescence culturelle
Kaax, signé chez le chaleureux label d’Orléans PHW Records, passe ainsi d’une main de maître du registre de l’électro house (« Ground ») à celui de l’électronique (« Light Drops ») en passant par la techno (« Work ») et la deep house (« House On Fire »). Notre pouls palpite et se calme quand la boîte à rythme et le synthé le décident.

Indie Rock Mag
KAAX digère habilement les nappes sonores qui se sont probablement invitées de manière régulière entre ses écoutilles et propose un contenu purgé de toute nostalgie pour faire émerger des émotions évoquant aussi bien la déshumanisation que l’épicurisme. Brillant.

Hebdoblog
Traffic Light est certainement cet album que l’on attendait tous pour tracer un nouveau chemin, celui de la liberté, celui de la découverte. KAAX signe ici un album original à la façon d’une navette urbaine que l’on emprunte le son à fond pour s’isoler dans un espace captivant.

A découvrir absolument
Autant le dire tout de suite, Traffic Light ne déçoit pas, bien au contraire. Green, qui ouvre le disque, nous embarque avec une ouverture douce et subtile, accélère ensuite le rythme avant de le suspendre un temps pour ensuite passer la surmultipliée ayant pour résultat de nous propulser dans un état euphorique et d’éveil sensoriel réjouissant. Le genre de morceau qui remplace haut la main tout les Guronzan matinaux du monde auquel on pourra ajouter HH13 et Jam qui lui succèdent dans la foulée.

Songazine
Genre ? Electro pure et dure, pas un mot : que des nappes et des notes, que des 0 et des 1 alignés dans diverses positions. Instrumental et sans paroles, comme le Kaax 40 (facile, celle- là). Synthétiseur, priez pour Traffic Light.
Qualités ? Mélodieux, catchy, plaisant, varié et créatif. Ce n’est pas rien, tout cela ! On écoute plusieurs fois et jamais ne se lasse. Il se passe quelque chose ici, on flaire le talent.

Hebdoblog
Des basses lourdes qui nous invitent à danser en rythme, des synthés qui s’envolent, des sons qui font briller les yeux et donnent envie de s’élancer ! […] L’apothéose avec un magnifique Prog 05 tout droit sorti d’un film, de quoi illustrer les plus beaux paysages hivernaux et porter Kaax jusqu’au sommet de la musique électro !
5 titres qui tranchent beaucoup avec le premier album de Kaax, 5 titres avec lesquels il prend un nouvel envol et qui nous rendent un peu plus impatient, déjà hâte de découvrir la suite.

Froggy’s delight
C’est riche, mais également monté avec une sensibilité et une finesse qui décrédibiliserait n’importe quel horloger suisse. Au passage, on imagine plus Kaax se réclamer des liens de parenté avec la scène d’outre-Manche (disons Erol Alkhan), qu’avec l’inévitable scène parisienne.

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